Au cœur du chantier avec l'Architecte Jacques Pajot - Atelier Novembre

Culture

Comment avez vous perçu le bâtiment ?

L’hôtel-Dieu est un lieu en mutation, il s’agit de faire d’un hôpital un espace partagé, culturel et qui crée du lien sur le territoire. Il a fallu protéger le patrimoine de cet édifice, qui en fait son caractère, et créer un futur équipement ouvert sur la ville et ses habitants.

Quel a été votre parti pris architectural sur ce projet ?


Dans un premier temps ça a été d’implanter le hall d’accueil au croisement des différentes zones du lieu. Cette centralité de l’accueil permettra de capter et d’orienter le public naturellement entre les différents espaces et depuis toute la Ville. Ensuite, nous avons un fil rouge, c’est l’utilisation d’éléments rectangulaires blancs inspirés des poutres en béton de l’espace bibliothèque. Tous les designs qui animeront les futurs espaces en sont inspirés: rampe d’accès, bancs, façade du hall d’accueil, meubles de la bibliothèque...

Comment avez vous concilié bâtiment du XVIIIe siècle et bibliothèque du XXIe siècle ?

En respectant la mémoire d’un lieu, on respecte aussi la population et on assure la pérennité du lieu. Pour que les gens se rendent à l’Inguimbertine, ils faut qu’ils aient le sentiment que l’on a respecté leur histoire car ce lieu est un lieu que beaucoup de familles ont connu en tant que bâtiment hospitalier et qu’il est très important dans l’histoire de la ville. Notre démarche est très respectueuse de l’Histoire et va assurer la pérennité du lieu.

Quelle a été la spécificité de ce projet ?

La plus grande spécificité réside dans le fait que ce lieu est destiné au musée et à la lecture, un concept que l’on s’est accaparé très fortement car c’est ce qui fait sa force. Les ados pourront lire des BD assis au pied de natures mortes du XVIIIe siècle et c’est génial. C’est un lieu très ouvert et nous faisons en sorte que n’importe quel carpentrassien s’y sente bien.

Comment avez vous perçu le bâtiment ?

L’hôtel-Dieu est un lieu en mutation, il s’agit de faire d’un hôpital un espace partagé, culturel et qui crée du lien sur le territoire. Il a fallu protéger le patrimoine de cet édifice, qui en fait son caractère, et créer un futur équipement ouvert sur la ville et ses habitants.

Quel a été votre parti pris architectural sur ce projet ?

Dans un premier temps ça a été d’implanter le hall d’accueil au croisement des différentes zones du lieu. Cette centralité de l’accueil permettra de capter et d’orienter le public naturellement entre les différents espaces et depuis toute la Ville. Ensuite, nous avons un fil rouge, c’est l’utilisation d’éléments rectangulaires blancs inspirés des poutres en béton de l’espace bibliothèque. Tous les designs qui animeront les futurs espaces en sont inspirés: rampe d’accès, bancs, façade du hall d’accueil, meubles de la bibliothèque...

Comment avez vous concilié bâtiment du XVIIIe et bibliothèque du XXIe siècle ?

En respectant la mémoire d’un lieu, on respecte aussi la population et on assure la pérennité du lieu. Pour que les gens se rendent à l’Inguimbertine, ils faut qu’ils aient le sentiment que l’on a respecté leur histoire car ce lieu est un lieu que beaucoup de familles ont connu en tant que bâtiment hospitalier et qu’il est très important dans l’histoire de la ville. Notre démarche est très respectueuse de l’Histoire et va assurer la pérennité du lieu.

Quelle a été la spécificité de ce projet ?

La plus grande spécificité réside dans le fait que ce lieu est destiné au musée et à la lecture, un concept que l’on s’est accaparé très fortement car c’est ce qui fait sa force. Les ados pourront lire des BD assis au pied de natures mortes du XVIIIe siècle et c’est génial. C’est un lieu très ouvert et nous faisons en sorte que n’importe quel carpentrassien s’y sente bien.