La culture fait un carton

Culture - Loisirs

La saison culturelle Anim’art a commencé sur les chapeaux de roues. Retour en images sur des événements auxquels le public a répondu présent !

De la musique pour tous

Le premier rendez-vous de la saison culturelle à Carpentras était dédié au Jazz avec le spectacle « Les légendes du jazz » où Daniel Bechet et Éric Luter ont rendu hommage à leurs icônes de pères. Le show était un moment de communion entre les artistes et le public qui a dansé une bonne partie du concert.

Pour les dix ans des soirées d’automne, Carpentras a accueilli le chanteur Tiken Jah Fakoly pour une soirée à guichet fermé. L’Espace Auzon, plein à craquer, a fait honneur au chanteur ainsi qu’aux quatre musiciens et deux choristes qui l’accompagnaient sur scène. Une ambiance de folie pour un spectacle d’une grande qualité.

Pour finir l’année en prenant des étoiles plein les yeux, la ville de Carpentras a proposé un spectacle familial, « Le livre de la jungle ». Le spectacle, qui a accueilli 900 spectateurs a conquis un public de petits et grands, émerveillés par les décors, costumes et chansons. Les nombreux comédiens et chanteurs ont assuré un grand spectacle, premiers pas dans la magie des fêtes de fin d’année.

L’humour à l’honneur

En novembre, le théâtre a pris possession de l’Espace Auzon avec « Pourvu qu’il soit heureux », une pièce signée Laurent Ruquier et interprétée par Fanny Cottençon, Francis Huster et Louis le Barazer. Les acteurs ont interprété avec humour une relation entre enfants et parents, chamboulée lorsque ces derniers découvrent par hasard l’homosexualité de leur fils. Une pièce grand public qui a séduit les 800 Carpentrassiens venus nombreux assister à cette pièce drôle et émouvante.

Le one man show « Différent » de Ahmed Sylla a clos l’année 2019 à l’Espace Auzon. Le spectacle, complet depuis des semaines a permis à l’artiste de présenter des personnages forts et d’exercer son grand sens de la répartie. Drôle et pertinent, il a traité tout au long de son spectacle le thème des différences : entre hommes et femmes, entre humains et animaux, entre cultures et pays. Avec ce « seul en scène », il a permis aux Carpentrassiens de rire des différences et de montrer que souvent, celles-ci sont une force !

Sommaire du magazine 160 - Janvier Février 2020